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La guerre de la Russie contre l’Ukraine et l’Occident nous rappelle qu’il y a des guerres, et ce ceci depuis les Grecs, dont la plus redoutée est la guerre globale ou la guerre de destruction. La psychanalyse apporte sa contribution aux sciences politiques qui essayent de faire une lecture de ces barbaries humaines. Nous développons une réflexion en interrogeant le caractère limité ou illimité d’une guerre, qui ouvre, ou pas, sur sa fin par une réconciliation en redonnant le pouvoir de la limite à la parole.

The war waged by Russia against Ukraine and the West reminds us that wars do indeed exist, and that this has been true since the Ancient Greeks, and the most feared of all wars is a world war or war of destruction. Psychoanalysis provides perspectives for political science in that it attempts to reread such human barbarity. This paper examines the limited or limitless nature of a war, leading – or not – to a final reconciliation by returning the power of limits to the spoken word.