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Les femmes de Louis XVIII

Par : Contributeur(s) : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : Perrin, 2024. Ressources en ligne : Abrégé : Alors que Louis XVIII, seul souverain du XIXe siècle à mourir sur son trône, est souvent décrit, à tort ou à raison, comme cruel, incapable de sentiments, calculateur, impuissant et/ou homosexuel, partant indifférent envers les femmes, le présent ouvrage s'attarde sur les relations nombreuses et complexes qu'il a entretenues avec elles depuis l'enfance. Très tôt en effet, celui qui n'est alors que comte de Provence comprend qu'elles sont indispensables à la construction de sa figure princière, puis royale. L'étude se concentre autour des princesses de sa famille : Marie-Josèphe de Saxe, sa mère ; Mesdames Clotilde et Élisabeth, ses sœurs ; Marie-Thérèse Charlotte de France, sa nièce ; Marie-Joséphine Louise de Savoie, son épouse ; Marie-Antoinette enfin, sa belle-sœur, avec qui ses rapports étaient ambigus. Sans oublier ses favorites : la comtesse de Balbi et la comtesse du Cayla, chacune très ambitieuse. Toutes ont servi d'une manière ou d'une autre l'ambition du roi, la construction de sa propre image et, plus largement, celle d'une monarchie fragile, restaurée en 1814, héritière d'une tradition d'Ancien Régime mais obligée de composer avec l'héritage de la Révolution et de l'Empire. Ces femmes, de l'ombre et dans la lumière, sont essentielles au discours royaliste, et Louis XVIII, fin politique, l'a parfaitement saisi.
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Alors que Louis XVIII, seul souverain du XIXe siècle à mourir sur son trône, est souvent décrit, à tort ou à raison, comme cruel, incapable de sentiments, calculateur, impuissant et/ou homosexuel, partant indifférent envers les femmes, le présent ouvrage s'attarde sur les relations nombreuses et complexes qu'il a entretenues avec elles depuis l'enfance. Très tôt en effet, celui qui n'est alors que comte de Provence comprend qu'elles sont indispensables à la construction de sa figure princière, puis royale. L'étude se concentre autour des princesses de sa famille : Marie-Josèphe de Saxe, sa mère ; Mesdames Clotilde et Élisabeth, ses sœurs ; Marie-Thérèse Charlotte de France, sa nièce ; Marie-Joséphine Louise de Savoie, son épouse ; Marie-Antoinette enfin, sa belle-sœur, avec qui ses rapports étaient ambigus. Sans oublier ses favorites : la comtesse de Balbi et la comtesse du Cayla, chacune très ambitieuse. Toutes ont servi d'une manière ou d'une autre l'ambition du roi, la construction de sa propre image et, plus largement, celle d'une monarchie fragile, restaurée en 1814, héritière d'une tradition d'Ancien Régime mais obligée de composer avec l'héritage de la Révolution et de l'Empire. Ces femmes, de l'ombre et dans la lumière, sont essentielles au discours royaliste, et Louis XVIII, fin politique, l'a parfaitement saisi.

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