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Chapitre 4. La science de la communication dans la relation médecin-patient

Par : Contributeur(s) : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2007. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : RésuméLes auteurs consacrent leur ouvrage à l’amélioration de la communication interhumaine au sein du système sanitaire, principalement dans le sous-système de la relation médecin-patient, dans un esprit de respect des droits de l’homme en général et de respect des droits des patients en particulier.L’emploi conjugué des éléments d’éthique médicale, acquis au long de la formation professionnelle – universitaire et post-universitaire – et des connaissances assimilées suite à une information de dernière heure relative à la science de la communication est un devoir permanent de tous ceux qui participent à l’activité d’assistance médicale de la population, dans le but d’améliorer leurs relations avec les patients. Les auteurs pensent que c’est uniquement de cette manière que peut s’accroître le degré de confiance et de satisfaction de la population vis-à-vis de ceux qui leur dispensent des soins de santé.Les auteurs plaident en faveur de la mise en œuvre, dans la pratique médicale courante, du logo de la communication : « Tu ne communiques pas, tu n’existes pas. Tu ne sais pas, tu es fautif », en tant que principe fondateur de l’éthique et de la déontologie professionnelle médicale, applicable dans la pratique médicale tant privée que de santé publique.La bonne communication médecin-patient engendre la confiance et le respect réciproque. L’absence ou bien une communication défectueuse provoquent la méfiance, la suspicion, l’animosité et même des conflits qui peuvent amener les médecins devant le Collège des Médecins de Roumanie ou bien amener les deux, médecin et patient, devant la justice.S’il est vrai que, au cours de l’activité d’assistance médicale, les patients souhaitent que l’on respecte leur droit d’être soignés et traités en tant qu’hommes dignes, ceux qui les soignent invoquent, à leur tour, leur droit au respect et à la dignité de la part de leurs patients.La législation nationale consacrée au problèmes de la relation professionnelle médecin-patient contient des prévisions en stricte concordance avec les réglementations en la matière de l’Union Européenne.Une fois ces normes éthiques et juridiques présentes dans la législation nationale, le pas suivant doit être dirigé vers la mise en œuvre et le contrôle de la modalité dont ces désidérata sont appliquées dans la vie de la société roumaine.Abrégé : The authors dedicate their work to the improvement of inter-human communication within the healthcare system, mainly in the sub-system of the patient-physician relationship, with the aim of respecting human rights in general and in particular, of respecting patient rights.The combined usage of elements of medical ethics, acquired throughout professional training – university and post-university studies – and the knowledge assimilated following some last minute information relative to the science of communication is a permanent responsibility of all healthcare practitioners with the goal of improving their relationships with patients. The authors believe that this is the only way of increasing the degree of trust and satisfaction of the population towards healthcare providers.The authors are in favor of the implementation, in common medical practice, of this motto of communication: “If you do not communicate, you do not exist. If you do not know, you are at fault,” as a founding principle of ethics and of the medical professional ethics, applicable equally in private and public medical practice.Effective patient-physician communication generates reciprocal trust. Its absence or poor communication can lead to distrust, suspicion, animosity and even conflicts which can cause physicians to be called before the College of Physicians of Romania or lead to legal repercussions for both physicians and patients.If it is true that, during medical assistance procedures, patients wish their right to be cared for and treated as dignified humans to be respected, it is also fair for those who care for them to evoke in turn their right to respect and dignity from the side of their patients.National legislation dedicated to issues relating to the professional patient-physician relationship contains provisions strictly in agreement with the regulations of the European Union.Once ethical and legal standards are introduced into national legislation, the next step should be towards the implementation and control of the procedure in which these desiderata are applied to life in Romanian society.
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RésuméLes auteurs consacrent leur ouvrage à l’amélioration de la communication interhumaine au sein du système sanitaire, principalement dans le sous-système de la relation médecin-patient, dans un esprit de respect des droits de l’homme en général et de respect des droits des patients en particulier.L’emploi conjugué des éléments d’éthique médicale, acquis au long de la formation professionnelle – universitaire et post-universitaire – et des connaissances assimilées suite à une information de dernière heure relative à la science de la communication est un devoir permanent de tous ceux qui participent à l’activité d’assistance médicale de la population, dans le but d’améliorer leurs relations avec les patients. Les auteurs pensent que c’est uniquement de cette manière que peut s’accroître le degré de confiance et de satisfaction de la population vis-à-vis de ceux qui leur dispensent des soins de santé.Les auteurs plaident en faveur de la mise en œuvre, dans la pratique médicale courante, du logo de la communication : « Tu ne communiques pas, tu n’existes pas. Tu ne sais pas, tu es fautif », en tant que principe fondateur de l’éthique et de la déontologie professionnelle médicale, applicable dans la pratique médicale tant privée que de santé publique.La bonne communication médecin-patient engendre la confiance et le respect réciproque. L’absence ou bien une communication défectueuse provoquent la méfiance, la suspicion, l’animosité et même des conflits qui peuvent amener les médecins devant le Collège des Médecins de Roumanie ou bien amener les deux, médecin et patient, devant la justice.S’il est vrai que, au cours de l’activité d’assistance médicale, les patients souhaitent que l’on respecte leur droit d’être soignés et traités en tant qu’hommes dignes, ceux qui les soignent invoquent, à leur tour, leur droit au respect et à la dignité de la part de leurs patients.La législation nationale consacrée au problèmes de la relation professionnelle médecin-patient contient des prévisions en stricte concordance avec les réglementations en la matière de l’Union Européenne.Une fois ces normes éthiques et juridiques présentes dans la législation nationale, le pas suivant doit être dirigé vers la mise en œuvre et le contrôle de la modalité dont ces désidérata sont appliquées dans la vie de la société roumaine.

The authors dedicate their work to the improvement of inter-human communication within the healthcare system, mainly in the sub-system of the patient-physician relationship, with the aim of respecting human rights in general and in particular, of respecting patient rights.The combined usage of elements of medical ethics, acquired throughout professional training – university and post-university studies – and the knowledge assimilated following some last minute information relative to the science of communication is a permanent responsibility of all healthcare practitioners with the goal of improving their relationships with patients. The authors believe that this is the only way of increasing the degree of trust and satisfaction of the population towards healthcare providers.The authors are in favor of the implementation, in common medical practice, of this motto of communication: “If you do not communicate, you do not exist. If you do not know, you are at fault,” as a founding principle of ethics and of the medical professional ethics, applicable equally in private and public medical practice.Effective patient-physician communication generates reciprocal trust. Its absence or poor communication can lead to distrust, suspicion, animosity and even conflicts which can cause physicians to be called before the College of Physicians of Romania or lead to legal repercussions for both physicians and patients.If it is true that, during medical assistance procedures, patients wish their right to be cared for and treated as dignified humans to be respected, it is also fair for those who care for them to evoke in turn their right to respect and dignity from the side of their patients.National legislation dedicated to issues relating to the professional patient-physician relationship contains provisions strictly in agreement with the regulations of the European Union.Once ethical and legal standards are introduced into national legislation, the next step should be towards the implementation and control of the procedure in which these desiderata are applied to life in Romanian society.

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