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Affect in Jia Zhangke’s 24 City (2008)

Par : Contributeur(s) : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2019. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : Le documentaire 24 City (2008) de Jia Zhangke est constitué d’entretiens des personnes ayant vécu des événements difficiles, voire traumatisants. Ces expériences personnelles sont racontées dans des entretiens mis en scène, juxtaposés à certaines images : images de la démolition d’une grande usine, de travailleurs posant pour un portrait devant la caméra, ou de séquences du processus de démolition et de transformation d’une usine-ville (« Usine 420 ») en un complexe immobilier (dénommé « Ville 24 ») à Chengdu en Chine. Considérant que ces personnes interrogées sont ce qu’Ackbar Abbas appelle des sujets « socialistes posthumes », cet article examine la structure affective du film, en particulier les contenus affectifs condensés dans des éléments non narratifs tels que les intertitres.Abrégé : Jia Zhangke’s documentary-like 24 City (2008) comprises interviews of personages who have gone through harsh or even traumatic events. Personal experiences are told in staged interviews juxtaposed with images of the demolition of a large factory, workers standing in front of the camera as if posing for portraits, and footages of the process of the demolition and transformation of a city-scale factory (Factory 420) to a real estate property development (24 City) in Chengdu, China. Recognizing these interviewees as what Ackbar Abbas terms “posthumous socialist” subjects, this paper examines the affective structure of the film, in particular the affective contents condensed in non-narrative elements such as intertitles.
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Le documentaire 24 City (2008) de Jia Zhangke est constitué d’entretiens des personnes ayant vécu des événements difficiles, voire traumatisants. Ces expériences personnelles sont racontées dans des entretiens mis en scène, juxtaposés à certaines images : images de la démolition d’une grande usine, de travailleurs posant pour un portrait devant la caméra, ou de séquences du processus de démolition et de transformation d’une usine-ville (« Usine 420 ») en un complexe immobilier (dénommé « Ville 24 ») à Chengdu en Chine. Considérant que ces personnes interrogées sont ce qu’Ackbar Abbas appelle des sujets « socialistes posthumes », cet article examine la structure affective du film, en particulier les contenus affectifs condensés dans des éléments non narratifs tels que les intertitres.

Jia Zhangke’s documentary-like 24 City (2008) comprises interviews of personages who have gone through harsh or even traumatic events. Personal experiences are told in staged interviews juxtaposed with images of the demolition of a large factory, workers standing in front of the camera as if posing for portraits, and footages of the process of the demolition and transformation of a city-scale factory (Factory 420) to a real estate property development (24 City) in Chengdu, China. Recognizing these interviewees as what Ackbar Abbas terms “posthumous socialist” subjects, this paper examines the affective structure of the film, in particular the affective contents condensed in non-narrative elements such as intertitles.

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