De Dunkerque à la Baie de Somme, en passant par le cap Gris-Nez au pied duquel la Mer du Nord devient la Manche, un long ruban de sable blanc s’étend : La Côte d’Opale.Ces chroniques tendres, drôles, étranges…souvent nous donne des nouvelles du nord, des gens d’ici, des ouvriers, des pêcheurs, des dockers.Il y a dans ces histoires ordinaires et pourtant singulières le sens de l’amitié, du canular, le souvenir de « Raoul », le sens de la fête, de la tendresse, de la dérisionQue la mer monte ou qu'elle descende, dès les premières brumes, planent sur l'estran des oiseaux, mystérieux compagnons des bateaux fantômes.« Pas étonnant que dans les estaminets, sitôt le troisième genièvre ou la cinquième bière, entre les rires et les chansons, oublieux des soucis de la veille et des tracas du lendemain, s’irisent de teintes imaginaires les yeux clairs des gens de là-bas. »