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This article is based on a doctoral study that explores the psychic consequences of the trauma resulting from the Turkish invasion of 1974 in Cyprus, on the generation that experienced it and on its descendants (in the Greek Cypriot population). We initially present the theoretical elements upon which we rely as well as the principal studies on trauma and its psychological transmission utilizing the projective methodology. Then, employing the projective methods (Rorschach and tat), we examine, through the presentation of a father/son case study, the effect of trauma on the father and the son, while questioning the transgenerational transmission of trauma through the resonances encountered between each protocol.

Este artículo se basa en un doctorado que explora las consecuencias psíquicas del trauma resultante de la invasión turca de 1974 en Chipre, en la generación que lo experimentó y en sus descendientes (en la población chipriota griega). Inicialmente, presentamos los elementos teóricos en los que confiamos, así como los estudios principales sobre el trauma y su transmisión psicológica utilizando la metodología proyectiva. Luego, empleando los métodos proyectivos (Rorschach y tat), examinamos, a través de la presentación de un estudio de caso padre/hijo, el efecto del trauma en el padre y el hijo, mientras cuestionamos la transmisión transgeneracional del trauma a través de las resonancias encontradas entre cada protocolo.

Cet article vise à rendre compte d’une étude doctorale sur les conséquences psychiques du traumatisme de l’invasion turque de 1974 à Chypre, sur la génération qui l’a vécue et sur ses descendants (dans la population chypriote grecque). Nous présentons tout d’abord les éléments théoriques sur lesquels nous nous appuyons ainsi que les principales études projectives sur le traumatisme et sa transmission psychique. Puis, à l’aide de la méthodologie projective (Rorschach et tat), nous explorons à travers la présentation d’une étude de cas père/fils, l’effet du traumatisme chez le père et le fils, tout en nous interrogeant sur la transmission transgénérationnelle du traumatisme à travers les résonnances rencontrées entre l’un et l’autre protocole.