Toujours avoir un conte sur soi
Type de matériel :
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Le conte n’est pas violent dans sa forme, il peut l’être dans son contenu. Cette violence, ressentie à la découverte du conte, est d’autant plus incontrôlée qu’elle peut venir résonner dans des zones enfouies de nous-mêmes. C’est pourquoi celui qui partage l’histoire, conteur ou art-thérapeute conteur, doit veiller à laisser parler le conte par lui-même, violence visible ou non. Il doit s’effacer sans prendre parti ou surjouer, offrant ainsi au conte de distiller toute sa dimension symbolique et laissant à son auditoire toute la liberté de faire son propre voyage intérieur, de soin et/ou de rêverie.
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