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Tezuka’s Ayako – which depicts the story of little Ayako Tengé, an incestuous child born of a patriarch’s oppression and sentenced in a family court to live sequestered – gives us a striking example of child abuse. The following article proposes to question the way Tezuka puts this irregular childhood intro frames, by studying the pattern of confinement and its role on the representation of sequestration as well as on the diegetic structure of the manga.

Dans Ayako, Tezuka donne un exemple frappant d’enfance irrégulière : enfant incestueuse née de l’oppression d’un patriarche sur les membres de sa famille, la petite Ayako Tengé est condamnée lors d’un tribunal familial à vivre séquestrée. Le présent article se propose d’interroger la manière dont l’auteur met en case cette enfance illégitime, par l’étude du motif de l’enfermement et de son rôle sur la représentation de la séquestration ainsi que sur la construction diégétique du manga.