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RésuméLa méthode des agendas routiniers est sans doute une approche mécaniste du travail humain. L’utiliser comme méthode de définition des activités projets par rapport aux activités séries comporte bien évidemment des limites. Pourtant, cette étude ne conduit pas à une approche « mécanisante » des organisations comme des concepts. Bien au contraire, elle met en lumière que les phénomènes d’itérations, d’adaptations, de traitement de la connaissance sont saillants dans le contrôle projet qui prospère dans des environnements riches en connaissances. Inversement, la même méthode conduit à une vision programmée des tâches dans le contrôle de gestion appliqué à une production de série. À contexte comparable, l’activité de pilotage de la performance ne possède pas les mêmes régularités dans l’organisation ni donc la même essence et les modélisations appliquées jusqu’à présent pour définir les activités de production sont peu pertinentes pour caractériser les activités projets. L’organisation définie comme processeur de connaissance nous amène à revoir nos définitions des fonctions comme celle du contrôle de gestion et de l’implication des acteurs comme celle du contrôleur de gestion.

The method of the organizational agendas leads probably to a mechanical view of the human work. This is probably a limit for this kind of methodology. Nevertheless, this work evidences phenomenon of iteration, knowledge and organisational learning et work and not influence of mechanic of tasks in the context of very rich intensive knowledge environment like the project controlling. Conversely, in poor environment of knowledge, in process controlling environment, the organizational regularities are much more important. The models and definitions of concepts at use are insufficient to make clear the controls systems in knowledge intensive environments. The organization as a processor of knowledge leads us to reconsider the definition of functions like controlling and of commitment of actors, for example the commitment of controllers.