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L’article interrogeons la fabrication de la souffrance sociale au sein même d’une société démocratique. Comment, par un héritage de pensée, la souffrance a-t-elle été perçue comme une épreuve de soi et envers autrui ? En fonction de cette réflexion, pourquoi la démocratie a-t-elle fabriquée du fait du néo-libéralisme une souffrance sociale du fait de son enlisement, avec d’autant plus aujourd’hui de violences ? Dans quelle mesure les individus peuvent-ils alors développer une « part de rêve » individuelle mais aussi collective ?

Suffering, democracy and neo-liberalism. Where are the dreams?The article questions the fabrication of social suffering within a democratic society. How has suffering been perceived as a test of oneself and of others through a legacy of thought? According to this thought process, why has democracy, as a result of neo-liberalism, created social suffering through its stagnation, with even more violence today? To what extent can individuals develop an individual but also a collective “dream”?