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La présence sur le terrain est-elle toujours nécessaire en géoscience ?

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2010. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : RésuméÀ l’heure de l’abondance en matière d’images satellite, à l’heure où nos ordinateurs voient leurs capacités décuplées tous les 18 mois, à l’heure de la transmission automatique des données et d’un développement d’une très haute technologie impensable il y a quelques années, est-il encore nécessaire pour un scientifique d’être présent sur le terrain ? C’est ce à quoi va tenter de répondre cet article, fondé sur une expérience personnelle longue en milieu polaire (Spitsberg). Si terrain il y a, la façon de l’aborder a forcément évolué avec les progrès techniques et la vie du scientifique en Arctique a donc changé aussi, même si le vieil adage inuit reste d’actualité : «En Arctique le temps (météo) et la glace décident.»Abrégé : As 21st century scientists, we live in an era where satellite images are plentiful, computers are increasingly more powerful, and data can be automatically transmitted through a high-technology network unimaginable a mere thirty years ago. The question then arises as to whether it is still necessary for a scientist to actually be present in the field on a regular basis. This paper seeks to answer this question through a reflexive look at 30 years of personal experience of research in a polar region (Spitsbergen). If fieldwork remains a key element in our research projects, methodologies and methods have changed with technical progress, and so has the daily life of Arctic scientists in the field. Yet, the Inuit philosophy remains a constant reality : “In the Arctic, it is the weather and the ice that decide”.
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RésuméÀ l’heure de l’abondance en matière d’images satellite, à l’heure où nos ordinateurs voient leurs capacités décuplées tous les 18 mois, à l’heure de la transmission automatique des données et d’un développement d’une très haute technologie impensable il y a quelques années, est-il encore nécessaire pour un scientifique d’être présent sur le terrain ? C’est ce à quoi va tenter de répondre cet article, fondé sur une expérience personnelle longue en milieu polaire (Spitsberg). Si terrain il y a, la façon de l’aborder a forcément évolué avec les progrès techniques et la vie du scientifique en Arctique a donc changé aussi, même si le vieil adage inuit reste d’actualité : «En Arctique le temps (météo) et la glace décident.»

As 21st century scientists, we live in an era where satellite images are plentiful, computers are increasingly more powerful, and data can be automatically transmitted through a high-technology network unimaginable a mere thirty years ago. The question then arises as to whether it is still necessary for a scientist to actually be present in the field on a regular basis. This paper seeks to answer this question through a reflexive look at 30 years of personal experience of research in a polar region (Spitsbergen). If fieldwork remains a key element in our research projects, methodologies and methods have changed with technical progress, and so has the daily life of Arctic scientists in the field. Yet, the Inuit philosophy remains a constant reality : “In the Arctic, it is the weather and the ice that decide”.

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