000			04259cam a2200301 4500500
005			20250205210322.0
041			_afre
042			_adc
100	1	0	_aBia Figueiredo, Marie _eauthor
700	1	0	_a Besson, Madeleine _eauthor
245	0	0	_a(In)visibility in new workspaces: the experience of telecommuting during the COVID19 crisis revisited through the lens of recognition theories
260			_c2022.
500			_a41
520			_aLa crise de la COVID19 a entraîné au printemps 2020 un recours massif au télétravail. Mettant à distance leurs collaborateurs, les organisations ont dû repenser le travail dans des espaces exclusivement numériques où de nouvelles (in)visibilités ont brouillé les repères traditionnels et engendré de nouveaux comportements organisationnels. Cet article analyse l’expérience de la visibilité au travail durant la crise sous l’angle de la reconnaissance. Une étude de cas réalisée au sein d’une grande entreprise du secteur de l’assurance révèle que durant la crise, le télétravail a exacerbé et mis à l’épreuve le besoin de reconnaissance existentielle au travail. Elle montre par ailleurs, que la numérisation des espaces de travail peut conduire à la perception d’une invisibilisation des pratiques et de l’engagement du fait du déplacement du regard vers les flux et les résultats du travail. Ce phénomène contribue pour certains – et notamment les managers de proximité, à alimenter le sentiment d’un déni de reconnaissance là où d’autres sont parvenus au sortir de la crise, à tirer une reconnaissance nouvelle. Cette recherche sur l’expérience du télétravail en période de confinement apporte ainsi un nouvel éclairage sur ce qui pourrait se jouer en termes de visibilité sociale et de reconnaissance dans les nouvelles spatialisations du travail. Sur le plan managérial, les résultats sont de nature à alimenter la réflexion actuelle des entreprises sur le futur du travail et ses nouvelles spatialisations, ainsi que sur le rôle du manager, dont l’expérience de la visibilité durant la crise apparaît comme ambivalente.
520			_aThe COVID-19 crisis led to a massive surge in remote work in the spring of 2020. Interacting with their employees from a distance, organizations had to rethink their work practices in exclusively digital spaces, where new (in)visibilities blurred traditional reference points and generated new organizational behaviors. This paper analyzes the experience of visibility at work during the crisis from the perspective of recognition. A case study conducted in a large insurance company reveals that during the pandemic, teleworking exacerbated and challenged the need for existential recognition at work. It also shows that digitization of workspaces can lead to a perception of invisibilization of practices and commitment due to the shift in focus towards workflows and results. This phenomenon contributes to the feeling of a denial of recognition for some people - in particular for local managers -, while, at the same time, others managed to gain new recognition following the crisis. This research on the experience of working from home in a period of lockdown throws new light on what might be at stake in terms of social visibility and recognition in the new spatialization of work. In terms of management, the results are likely to contribute to current reflections in companies on the future of work and its new spatializations, as well as on the role of the manager, whose experience of visibility during the crisis appears ambivalent.
690			_aorganizational behavior
690			_avisibility
690			_adigital space
690			_aworkplace
690			_arecognition theory
690			_aorganizational behavior
690			_avisibility
690			_adigital space
690			_aworkplace
690			_arecognition theory
786	0		_nRevue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels - RIPCO | XXVIII | 75 | 2022-12-20 | p. 151-176 | 2262-8401
856	4	1	_uhttps://shs.cairn.info/journal-revue-internationale-de-psychosociologie-de-gestion-des-comportements-organisati-2023-75-page-151?lang=en&redirect-ssocas=7080
999			_c1067417 _d1067417