000 | 01699cam a2200157 4500500 | ||
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005 | 20250112012324.0 | ||
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042 | _adc | ||
100 | 1 | 0 |
_aVella, Graziella _eauthor |
245 | 0 | 0 | _aMosquées et médiations |
260 | _c2014. | ||
500 | _a25 | ||
520 | _aComment travailler en terrain miné lorsque le malaise est palpable, le vocabulaire guerrier : privatisation, envahissement de l’espace public, communautarisme, débordement, risque de contagion de l’espace public par le religieux ? Comment déjouer les catégories ou l’imaginaire négatif qui s’ouvre quand on aborde la question de la mosquée ? En se saisissant de la singularité du projet de mosquée. Une mosquée est un lieu dont on ne sait pas à l’avance de quoi il s’agit, dont les limites sont floues, car ses usages sont variables, flexibles selon les temporalités de la journée ou de l’année ; un lieu qui brouille les frontières, les catégories, car ce qui devrait être tenu séparé – le cultuel, le culturel, l’éducatif, le sportif… – y est, au contraire, enchevêtré ; un lieu à haut potentiel d’articulations troublant ce qui devrait aller de soi. Apprendre de ce trouble plutôt que de chercher à le canaliser selon un modèle de fonctionnement idéal, multiplier les connexions possibles entre acteurs, entre lieux, entre usages, faire exister d’autres versions de l’espace public, « médier »… c’est ce qui a été expérimenté au sein de l’atelier Terrains d’architecture et qui est relaté dans cet article. | ||
786 | 0 | _nCLARA | 2 | 1 | 2014-06-01 | p. 87-95 | 2295-3671 | |
856 | 4 | 1 | _uhttps://shs.cairn.info/revue-clara-2014-1-page-87?lang=fr |
999 |
_c115329 _d115329 |