000 02242cam a2200289zu 4500
001 88856431
003 FRCYB88856431
005 20250107094307.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s2015 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782353451302
035 _aFRCYB88856431
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aBuffin, Emmanuèle
245 0 1 _a30 ans de ZEP, même pas mal!
_bAux Charmes de la Villeneuve
_c['Buffin, Emmanuèle', 'Moreau, Hélène']
264 1 _bTom Pousse
_c2015
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aBuffin, Emmanuèle
700 0 _aMoreau, Hélène
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88856431
_qtext/html
_a
520 _aOn parle beaucoup des « quartiers », des « zones sensibles » : enseigner y serait difficile, voire mission impossible. Y exercer serait presque devenu une punition?? Ce témoignage d’une enseignante qui a fait l’essentiel de sa carrière à Grenoble, dans ce qu’on appelait encore récemment une ZEP (Zone d’Éducation Prioritaire), est intéressant et réconfortant à plus d’un titre : non, ce n’était pas l’enfer tous les jours, même si ce n’était pas de tout repos. Non, l’ascenseur républicain ne fonctionne pas uniquement en direction du sous-sol... Non, le métissage ne rend pas nécessairement les classes ingérables. Oui, il est possible d’y faire la classe, et c’est même un des rares endroits où le travail en équipe est une réalité vraiment efficace. Oui, le niveau hétérogène des élèves peut être un atout plutôt qu’une difficulté, et rendre le métier passionnant. Oui, des classes à plusieurs niveaux peuvent être un choix pédagogique intéressant. Les ZEP n’existent plus, mais les problèmes et les questions demeurent. Un regard lucide et sensible sur la vie d’une école, d’un quartier, de ses habitants. Un témoignage qui ouvre des perspectives pour les enseignants sans leur faire la leçon. Un livre propre à valoriser un métier dont nul ne peut nier qu’il est difficile, mais qui peut être aussi exaltant.
999 _c11959
_d11959