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100 1 _aCollectif,
245 0 1 _aConnaissance des Pères de l'Église n°175
_bGrégoire de Nysse
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264 1 _bNouvelle Cité
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520 _a« Dans les discours sur Dieu, la recherche porte-t-elle sur l'essence, c'est “le moment de se taire”, mais porte-t-elle sur quelque énergie bonne dont la connaissance descend jusqu'à nous, c'est alors le moment de “dire ses puissances”, de “proclamer ses merveilles”, de “raconter ses oeuvres”, c'est le moment de recourir jusqu'à ce point du discours ; mais pour ce qui est au-delà, il ne faut pas permettre à la création de franchir ses limites propres, mais se contenter de ce qu'elle se connaisse elle-même. Car, à mon avis, la création ne se connaît pas encore elle-même, elle n'a pas non plus compris ce qu'est l'essence de l'âme, ce qu'est la nature du corps, l'origine des êtres […]. Si donc la création ne se connaît pas elle-même, comment racontera-t-elle ce qui est au-dessus d'elle ? C'est donc “le moment de se taire”, car sur ces sujets mieux vaut le silence. Mais c'est le “moment de dire” par quels moyens notre existence progresse vers la vertu, dans le Christ Jésus notre Seigneur. » S. Grégoire de Nysse, Homélie VII, 8 sur l'Ecclésiaste, SC 416, p. 385-387.
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