000 01893cam a2200241 4500500
005 20250706034917.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aOuld-Braham, Ouahmi
_eauthor
245 0 0 _aProjet algérien sur la valorisation numérique des manuscrits arabo-berbères
260 _c2025.
500 _a32
520 _aBien des écrits ont été publiés sur l’œuvre des officiers français chargés de la politique dite « indigène » de la France au Maroc entre 1912 et 1956. La majorité des écrits postcoloniaux à ce sujet, de qualité variable, s’avère fort critique envers eux, autant ceux émanant d’universitaires français ténors de l’autoflagellation comme Ageron (1971) que ceux « pondus » par des chercheurs nord-américains. L’un de ces derniers a même soutenu que la France avait « inventé » le droit coutumier amazigh (Guerin, 2011) ! L’actuelle note de recherche visera, chemin faisant, à démontrer la fragilité de ce genre d’affirmation. Le point d’orgue de tout cela fut indiscutablement l’affaire du « dahir berbère » de 1930, qui focalisa l’attention de maints observateurs, tant au Maroc qu’à l’étranger. Heureusement, un ouvrage collectif publié par l’IRCAM à Rabat (Aboulkacem et al., 2018), dans lequel j’ai largement puisé, fait le point sur cette question de façon plutôt objective. Sont également fort révélateurs les travaux de Mustapha El Qadery (1998, 2007).
690 _a« dahir berbère »
690 _aautoflagellation
690 _aazerf
690 _adroit coutumier
690 _aécrits postcoloniaux
690 _alɛurf
690 _apolitique indigène
786 0 _nÉtudes et Documents Berbères | 51 | 1 | 2025-06-30 | p. 217-218 | 0295-5245
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-etudes-et-documents-berberes-2025-1-page-217?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c1379376
_d1379376