000 01489cam a2200133 4500500
005 20250921000553.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aBienvenu, Clovis
_eauthor
245 0 0 _aLe 36, quai des Orfèvres : À la croisée de l'histoire et du fait divers
260 _bPresses Universitaires de France,
_c2012.
520 _aHéritière de la Lieutenance générale, la police judiciaire parisienne s’installe au 36, quai des Orfèvres dans la seconde moitié du XIXe siècle, après l’incendie du palais de justice qui a ravagé durant la Communeles anciens locaux de la police criminellerue de Jérusalem. Dirigée par des hommes charismatiques tels que Vidocq, Canler ou Goron, l’adresse devient celle d’une véritable institution en 1913 avec la naissance d’une direction autonome sous l’impulsion de Célestin Hennion, le successeur de Louis Lépine.Liée à nombre d’événements tragiques des IIIe, IVe et Ve Républiques (affaires Stavisky, Petiot, Ben Barka, attentat du Petit-Clamart, Action directe, etc.), la «maison de la mort» traverse un XXe siècle politiquement instable où les réussites largement médiatisées de la Brigade criminelle et de l’antigang créée en 1964, mais aussi les nombreux romans de Simenon et les films de Clouzot et de Marchal, rendent le lieu tour à tour mystérieux, effrayant ou mythique.
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/le-36-quai-des-orfevres--9782130588832?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c1502528
_d1502528