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100 1 _aBuies, Arthur
245 0 1 _aLa Lanterne
_bL'ennemi instinctif des sottises, des ridicules, des vices et des défauts des hommes
_c['Buies, Arthur', 'Nadeau, Jean-François', 'Livernois, Jonathan']
264 1 _bLux Editeur
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520 _a« Jongleurs, artisans d’ombres, fabricants de fausses clefs pour les verrous du paradis, arrière, laissez l’homme libre afin qu’il grandisse ; et si vous ne pouvez le suivre, ne cherchez pas du moins à le retenir », écrit Arthur Buies dans La Lanterne. Ce journal, digne de l’esprit des Lumières et jamais réédité intégralement, est une étoile filante dans le ciel de l’histoire des idées au Québec. Il ne paraît que durant un bref moment, de septembre 1868 à mars 1869. Arthur Buies, son seul animateur, frappe de sa plume les conservateurs et les religieux. Il peste contre la bêtise et la superstition dans lesquelles sont englués ses contemporains. Il traite aussi de sujets politiques, comme la Confédération ou l’annexion aux États-Unis, de nouvelles internationales, notamment de la révolution espagnole de 1868 et des après-coups du Risorgimento. Esprit révolté et curieux, anticlérical, ses adversaires le vouaient à l’oubli ou, à l’instar d’un Claude-Henri Grignon, l’auteur des Belles histoires des pays d’en haut, à la damnation sous forme de portrait caricatural. Nous faisons revivre ici son œuvre en publiant dans leur intégralité sept numéros de La Lanterne.
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