000 01504cam a2200277zu 4500
001 88821069
003 FRCYB88821069
005 20250106110937.0
006 m o d
007 cr un
008 250106s2014 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782212869101
035 _aFRCYB88821069
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aMalaterre-Roques, Marie
245 0 1 _aOn entend dire que... La presse est morte
_c['Malaterre-Roques, Marie']
264 1 _bEyrolles
_c2014
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aMalaterre-Roques, Marie
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88821069
_qtext/html
_a
520 _aOn entend dire que... On entend un peu partout que la presse papier est morte. Cette affirmation a surtout la peau dure auprès du grand public. Pourtant, beaucoup ignorent que la vente de journaux papier représente une large partie du chiffre d'affaires des grands groupes, que le secteur de la presse est extrêmement dynamique en termes de nouveautés, et que le numérique, s'il constitue un vrai succès d'audience et colle parfaitement aux nouvelles pratiques médiatiques, est loin de dégager les résultats escomptés. Au mieux, le numérique, tout confondu, représente 15 % du chiffre d'affaires des groupes. Quoiqu'on puisse en dire, le papier porte toujours l'économie de l'information écrite !
999 _c2093
_d2093