000 01856cam a2200193 4500500
005 20250112071307.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aCouppié, Thomas
_eauthor
700 1 0 _a Dupray, Arnaud
_eauthor
700 1 0 _a Epiphane, Dominique
_eauthor
700 1 0 _a Mora, Virginie
_eauthor
245 0 0 _aIntroduction
260 _c2018.
500 _a1
520 _aDepuis sa création en 1970, le Céreq, dont une des missions prioritaires était alors d’« étudier l’adaptation des formations et des méthodes pédagogiques en fonction des réalités de la vie active » (Ducray, 1976), s’est attaché à rendre compte des conditions de passage des individus de l’appareil éducatif au marché du travail. Pour ce faire, il s’est doté d’un outil, inexistant jusque-là, permettant de retracer les parcours d’entrée dans la vie active à l’issue de toutes les formations. La mise en place de ce dispositif statistique d’observation s’est inscrite dans une période où dominait une volonté de planification quantitative : en cherchant à prévoir les conditions d’une croissance économique soutenue, les planificateurs ont alors établi une grille d’équivalence entre les formations et les emplois afin de définir les objectifs d’adaptation du système éducatif à la croissance future (Mansuy et Grelet, 2003). Cette montée en puissance des questionnements autour de la relation entre la formation et l’emploi a abouti, d’une part, à la création du Répertoire français des emplois et, d’autre part, à la mise en place des premières enquêtes sur l’entrée des jeunes dans la vie active (Affichard et Gensbittel, 1984 ; Mansuy, 1995).
786 0 _nCéreq Essentiels | 1 | 1 | 2018-11-09 | p. 9-12
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-cereq-essentiels-2018-1-page-9?lang=fr
999 _c249570
_d249570