000 02270cam a2200277zu 4500
001 41000412
003 FRCYB41000412
005 20250107124254.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s2006 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782915313697
035 _aFRCYB41000412
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aCollectif
245 0 1 _aL'avenir du monde
_bLes chrétiens et l'avenir
_c['Collectif']
264 1 _bEditions de l'Emmanuel
_c2006
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aCollectif
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/41000412
_qtext/html
_a
520 _aIl est accordé qu’il n’est pas nécessaire d’être chrétien pour vivre les valeurs chrétiennes. Le christianisme disparaîtrait ainsi dans le succès de la diffusion de ses idées, englouti en des sociétés sécularisées qui, d’ailleurs, d’aucune religion n’auraient besoin. Cette évidence doit être réexaminée. Ce réexamen entraîne une réflexion de philosophie politique qu’en est-il du rapport des sociétés au religieux ? Mais elle entraîne aussi une réflexion sur la sociologie et la prétendue irréversibilité des déclins ou des processus qu’elle observe. Elle entraîne surtout une réflexion sur la portée de la foi chrétienne soumise ici à une persécution d’un nouveau genre, celui de l’” embaumement ”: on lui fait éloge de procéder à sa propre disparition. Ce colloque réunissant philosophes, sociologues et théologiens aborde trois questions : Quelle est la signification de l’avenir pour la théologie chrétienne? L’exigence d’avoir à répondre de l’avenir fait confusion avec l’espérance qui, elle, est quitte du souci du lendemain ; Quelle place les chrétiens se font-ils dans une société sécularisée? Cette question invite à discuter le lien mécanique entre développement et sécularisation; Quel discours théologique tenir en ce temps? La nouveauté radicale de l’Evangile reste intolérable à une culture relativiste.Sous la direction de Jean-Noël Dumont et avec la participation de Jean-Claude Guillebaud
999 _c24994
_d24994