000 02101cam a2200241 4500500
005 20250112074824.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aBiron-Andréani, Christine
_eauthor
700 1 0 _a Diaz, Isabelle
_eauthor
700 1 0 _a Navarro, Robert
_eauthor
700 1 0 _a Schved, Jean-François
_eauthor
245 0 0 _aTraitement antihémophilique et risque d’inhibiteurs chez l’hémophile A sévère : l’étude SIPPET démontre un avantage aux concentrés de facteur VIII d’origine plasmatique sur les concentrés recombinants
260 _c2019.
500 _a20
520 _aL’apparition d’un inhibiteur reste une complication redoutée du traitement de l’hémophilie A. La physiopathologie de cette complication est multifactorielle et complexe. Dans ce contexte, l’impact du type de facteurs antihémophiliques (FAH), plasmatique ou recombinant, est une question régulièrement débattue. Jusqu’en 2016, la littérature ne permettait pas de conclure. L’étude SIPPPET, publiée en 2016, seule étude randomisée dans ce domaine, montre un risque d’apparition d’un inhibiteur, en cas d’utilisation de FAH plasmatiques, plus faible qu’en cas d’utilisation de FAH recombinants chez les patients hémophiles A sévères non préalablement traités. Cette publication a donné lieu à des controverses, mais l’analyse des données du registre France Coag, publiée en 2018, pour la population similaire, confirme la faible incidence d’inhibiteurs sous Factane®, d’origine plasmatique, en accord avec les conclusions de SIPPET. Lors de l’initiation d’un traitement prophylactique chez un enfant hémophile A sévère, les caractéristiques de la molécule, dont son immunogénicité, doivent être connues des médecins.
690 _aconcentrés de FVIII recombinants
690 _ainhibiteurs
690 _aHémophilie A sévère
690 _aconcentrés de FVIII plasmatiques
786 0 _nHématologie | 25 | 2 | 2019-03-01 | p. 93-99 | 1264-7527
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-hematologie-2019-2-page-93?lang=fr
999 _c264012
_d264012