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520 _aLa vie d'autrefois en Charente retrace, de 1870 à 1918, la petite histoire des habitants d'un département né sous le signe de l'eau. L'eau particulièrement pure du fleuve, qui lui donna son nom, fit de lui une terre d'élevage. Avec son débit puissant et surtout constant, la Charente générait par ailleurs une force motrice considérable. Elle entraînait les roues des moulins, puis des turbines des papeteries, des brasseries, des manufactures textiles ou des fonderies qui, au début du XXe siècle, faisaient la réputation du département. L'eau-de-vie, "la liqueur des dieux" selon Victor Hugo, participait également de la renommée charentaise. Issue d'un terroir rigoureusement délimité, elle était obtenue par un procédé unique. Les maisons de négoce qui commercialisèrent le "cougnat" charentais, dès le XVIIIe siècle, firent tant et si bien qu'aux quatre coins du monde, la toute petite ville de Cognac devint aussi célèbre que la capitale de la France. A bien des égards, ce rayonnement bénéficia à l'ensemble du département.
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