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520 _aFierté, mais aussi courage, voilà deux termes qui caractérisaient parfaitement le Breton des Côtes-du-Nord d’autrefois. Dieu sait s’il fallait du courage au paysan pour récolter, dans une terre où, entre landes et granit, ne poussaient vraiment que le seigle et le sarrasin, de quoi nourrir sa nombreuse famille. Et que dire du marin qui abandonnait pendant six mois sa « Paimpolaise » pour aller pêcher la morue sur les côtes de la lointaine Islande ?Quand, en 1863-1865, le train de Paris à Brest traversa le département, des dizaines de milliers de « bouches », que l’on ne pouvait plus nourrir, se retrouvèrent sur les quais de la gare Montparnasse. Ce fut le début d’un exode rural catastrophique. Cependant, dans le même temps, les premiers « touristes » prirent ce même train pour venir profiter, sur des plages désertes, des bienfaits de l’air marin et des bains de mer.
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