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520 _aCent figures de patrons pour une ville. Mais une ville-port, seule place économique de première importance sur la façade méditerranéenne  française, ouverte sur l’Orient, l’Afrique et les Amériques. Le milieu du XIXe siècle est à Marseille le temps des grands équipements ferroviaires, portuaires, urbains, technologiques et bancaires. Autant d’infrastructures qui favorisent l’épanouissement d’activités multiples, l’attraction d’hommes d’affaires d’envergures nationale et internationale, la montée en puissance du patronat local.Celui-ci se caractérise par la diversité de ses activités, la grande adaptabilité et la forte mobilité des hommes venus de tous les horizons tenter leur chance à Marseille : le brassage est important, les dynasties sont rares, l’éphémère l’emporte. La richesse du groupe soutient la comparaison avec celle d’autres régions qui ont une réputation établie de dynamisme et de modernité : le corpus est constitué pour moitié de millionnaires et à 60% de fondateurs. L’engagement civique, social et même culturel de ces notables ne diffère pas sensiblement de celui des autres patronats. Contrairement à une idée reçue, les élites économiques marseillaises n’hésitent pas à s’investir dans la pratique des arts et du mécénat. Enfin, marque du milieu  méditerranéen, la mise en scène spectaculaire de la mort vient couronner la vie et la carrière de ces patrons marseillais. 
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