000			01793cam a2200205 4500500
005			20250117200812.0
041			_afre
042			_adc
100	1	0	_aNeville, Bernie _eauthor
245	0	0	_aL’enchevêtrement thérapeutique
260			_c2015.
500			_a55
520			_aDans ses derniers écrits, Carl Rogers a souligné l’importance de l’intuition dans le processus thérapeutique. Il a émis l’idée d’une connaissance directe, intuitive, et témoigné de moments où il avait le sentiment que son client et lui étaient des éléments d’un ensemble plus vaste. Il a considéré l’intuition comme similaire à des phénomènes comme la télépathie et la précognition. Sa pensée rejoint en cela celle de Carl Jung, et elle peut être mise en relation avec celle de nombreux scientifiques et philosophes, tel Alfred N. Whitehead. Le monde qu’ils décrivent est un monde où chaque chose, chaque être est connecté. De manière similaire, Rogers a fait valoir qu’il n’y a pas d’espace pour séparer le thérapeute et le client. Et si la thérapie fonctionne, c’est avant tout parce qu’elle est relation. C’est la reconnaissance et la valorisation d’une telle relation qui facilite la tendance actualisante. En contextualisant ces idées, nous pouvons comprendre qu’au cœur de l’interaction selon l’Approche centrée sur la personne se trouve la « présence engagée ».
690			_aintersubjectivité
690			_aintuition
690			_arelation thérapeutique
690			_aparapsychologie
786	0		_nApproche Centrée sur la Personne. Pratique et recherche | 20 | 2 | 2015-03-19 | p. 5-26 | 1774-5314
856	4	1	_uhttps://shs.cairn.info/revue-approche-centree-sur-la-personne-2014-2-page-5?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999			_c280468 _d280468