000 02490cam a2200277zu 4500
001 88813835
003 FRCYB88813835
005 20250107133909.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s1997 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782871061830
035 _aFRCYB88813835
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aLonyay, Princesse Stéphanie de Belgique Comtesse de
245 0 1 _aJe devais être impératrice
_bLa dernière princesse héritière d'Autriche-Hongrie
_c['Lonyay, Princesse Stéphanie de Belgique Comtesse de']
264 1 _bLe Cri
_c1997
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aLonyay, Princesse Stéphanie de Belgique Comtesse de
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88813835
_qtext/html
_a
520 _aDeuxième fille de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, la princesse Stéphanie naquit à Laeken, le 21 mai 1864. Comme sa soeur Louise et son frère Léopold, elle fut élevée à la dure. Mariée à seize ans (1881) au prince héritier Rodolphe de Habsbourg - à qui elle donnerait une fille en 1883 -, elle se sentit très vite écartée de la vie de son mari, voire de celle de la famille impériale. En fait, au cours des dernières années de sa vie, l'archiduc Rodolphe multiplia les liaisons fugitives et les beuveries. Il était dégoûté de tout et, en particulier, de la vie de cour. Il devint de plus en plus instable de caractère et crut trouver un certain apaisement dans sa liaison avec Marie Vetsera. Il se dégoûta finalement de lui-même et se tua, avec son amie, dans le pavillon de chasse du petit village de Mayerling, en Basse-Autriche. Les mémoires de la princesse Stéphanie sont indispensables à qui veut connaître la vie quotidienne à la cour de Bruxelles et à celle de la Hofburg où François-Joseph survécut à tous les événements. Elle s'impose aussi pour rétablir une vérité souvent camouflée par les historiens autrichiens qui n'ont qu'indulgence et compréhension pour l'archiduc Rodolphe dont ils gomment volontiers la vie dissolue, le caractère instable et la maladie mentale. La version française de Je devais être impératrice parut à Bruxelles en 1937, à la célèbre librairie Jean Dewit, établie Grand-Place. Épuisée dès les années 40, elle attendait une réédition depuis plus d'un demi-siècle.
999 _c29961
_d29961