000 02045cam a2200301zu 4500
001 88814577
003 FRCYB88814577
005 20250107134054.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s2013 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782226179074
035 _aFRCYB88814577
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aCollectif
245 0 1 _aLa Société du probable
_bLes mathématiques sociales après Augustin Cournot
_c['Collectif', 'Touffut, Jean-Philippe', 'Solow, Robert']
264 1 _bAlbin Michel
_c2013
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aCollectif
700 0 _aTouffut, Jean-Philippe
700 0 _aSolow, Robert
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88814577
_qtext/html
_a
520 _a«En m'attribuant son prix en sciences économiques, après William Vickrey et John Nash, la fondation Nobel récompense Augustin Cournot pour la troisième fois », déclarait Robert Aumann à l'occasion de la conférence du centre Cournot en 2005, dont ce livre d'hommage au penseur franc-comtois présente les actes.Mathématicien, philosophe, historien des sciences et économiste, Augustin Cournot (1801-1877) rompt avec ses prédécesseurs : sa démarche inaugure en effet la modélisation du social. Cournot ne se contente pas d'appliquer les mathématiques aux phénomènes sociaux, il affirme comme un principe incontournable leur mathématisation. Léon Walras, Stanley Jevons, Alfred Marshall, Gabriel de Tarde, Vilfredo Pareto et Irving Fisher seront les premiers à s'inscrire, à leur manière, dans la filiation cournotienne. La fécondité de la postérité de Cournot ne repose pas seulement sur cette rupture mais aussi sur la richesse d'une oeuvre qui a irrigué les sciences sociales du XXe siècle : théorie des jeux, économie industrielle, théorie des probabilités et statistique, sociologie et critique historique.
999 _c30116
_d30116