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520 _a« L’historiographie de la Guyane pendant la Grande Guerre est très récente. Les premiers travaux de chercheurs sur cette période ne datent que de trente ans, et j’y ai à l’époque apporté ma contribution. La commémoration officielle du « centenaire » de 1914-1918 est pour la Guyane l’occasion d’une production de travaux historiques et pédagogiques de grande qualité (…). Les pistes de recherche sur cette période de l’histoire de la Guyane sont encore multiples, et fourniront pour de nombreuses années encore des sujets d’étude passionnants aux étudiants en Histoire, d’autant que la dynamique créée par l’effet « centenaire » a pour conséquence d’ouvrir chaque jour de nouveaux ensembles documentaires, autrefois non-consultables ou très difficiles d’accès (…). Que savait-on, il y a encore quelques années, sur les soldats guyanais potentiellement faits prisonniers par l’armée allemande pendant la Grande Guerre ? Rien ou presque, si ce n’est quelques noms de poilus, glanés au cours des recherches (…). Cette étude n’a pas la prétention d’être exhaustive – ce qui serait illusoire – et d’autres prisonniers de guerre guyanais, internés dans d’autres camps, seront probablement « repérés » dans le cadre de recherches ultérieures, et leurs parcours individuels appréhendés plus finement. Toutefois, cet ouvrage donne pour la première fois une vue d’ensemble sur une partie méconnue de l’histoire de la Guyane, basée sur l’analyse de documents d’archives jusqu’à présent inédits. » Extrait de l’avant-propos de Rodolphe Alexandre
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