000 01681cam a2200169 4500500
005 20250118035320.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aHumbert, Sylvie
_eauthor
245 0 0 _aLa caméra dans le prétoire, miroir de la société
260 _c2019.
500 _a74
520 _aRésumé Les affaires judiciaires constituent le scénario idéal pour le cinéma. Mais, tous les films industriels, scientifiques ou documentaires sont des fictions dans lesquelles le producteur impose sa propre vision des faits, consciemment ou inconsciemment. Avec le développement des premiers cinématographes, Méliès et Pathé, la censure cinématographique fait très vite son apparition. Dénoncer l'injustice, filmer la mort en direct, regarder l'horreur en face, toutes ces images se déclinent entre peur et séduction de la société, entre preuve et témoignage de la justice, entre spectacle et souvenir.
520 _aCourt cases constitute ideal scenarios for the cinema. But all industrial, scientific or documentary films are works of fiction, in which the producer imposes his own vision of the facts, consciously or unconsciously. With the development of the first cinematographers, Méliès and Pathé, cinematographic censorship very soon made its appearance. Denouncing injustice, filming death live, looking horror in the face, all these images can be seen as either fear or seduction of society, as evidence or testimony, as spectacle or remembrance.
786 0 _nLes Cahiers de la Justice | 1 | 1 | 2019-03-19 | p. 51-70 | 1958-3702
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-les-cahiers-de-la-justice-2019-1-page-51?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c352410
_d352410