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100 1 _aCollectif
245 0 1 _aLes générations dans le monde latino-américain
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520 _aLes hispanistes associent traditionnellement le concept de génération à l’année 1898, marquée par l’indépendance de Cuba au terme de décennies de conflit. L’année 1927 s’impose aussi du fait de l’émergence d’une avant-garde revendiquant la libération de l’art. Le succès du concept de génération s’explique tout au long du xxe siècle par sa fonction méthodologique. C’est un outil qui facilite la description et la compréhension de la réalité en favorisant les approches chronologiques. Appliqué à de multiples groupes sociaux ou culturels, il permet de rassembler les individualités autour de passions et de préoccupations communes, et contribue à l’explication a posteriori de situations complexes.  Après un hommage au mexicaniste Yves Aguila, qui rassemble les générations de l’hispanisme bordelais, l’ouvrage propose deux axes de travaux représentatifs de la diversité des recherches latino-américanistes, de l’histoire de la filiation dans l’Amérique coloniale à la critique décoloniale de la pensée européenne. Traumatisme de la guerre civile espagnole, crise identitaire de la deuxième génération née en Amérique latine, résilience et réactivation de la mémoire inspirent poètes et cinéastes transatlantiques dans la seconde moitié du XXe siècle.
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