000 01471cam a2200253 4500500
005 20250118053140.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aGuedj, Max
_eauthor
245 0 0 _aLe fantasme animal de l'homme
260 _c2013.
500 _a50
520 _aLe fantasme animal dans sa dimension ethnologique est d’emblée susceptible de structurer les conduites, langagières en premier, du sujet humain. En cure, il deviendra instrument de transfert. Il illustre une régression tant par rapport aux stades du développement sexuel se symbolisant dans l’animal choisi que par rapport à l’Évolution – comme démarche narcissique contre-évolutive – régression se soldant dans chacun de ces deux registres par des troubles soit névrotiques relevant de la « psychanalyse sans adaptation » ou « cure-type », soit psychotiques, lorsque les identifications défensives occasionnent une perte de réalité. Fonctionnant comme capiton pare-excitant, son recours illustre la difficulté d’être humain.
690 _atransfert en abîme
690 _ainstrument
690 _adeuil du fantasme
690 _aGeorges Devereux
690 _atransfert
690 _acontre-transfert
690 _aroman familial ou des origines
690 _aOpérant
786 0 _nLe Coq-héron | 215 | 4 | 2013-12-01 | p. 69-88 | 0335-7899
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-le-coq-heron-2013-4-page-69?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c359782
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