000 01668cam a2200205 4500500
005 20250118074021.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aRobion, Jacques
_eauthor
245 0 0 _aLe modèle de l'auto-prescription
260 _c2003.
500 _a17
520 _aTout demandeur d’aide sollicite du tiers une hétéro-réparation en même temps qu’il souhaite conserver son pouvoir de problématisation. À ce paradoxe de la demande, l’aidant répond le plus souvent par une hétéro-prescription de reproblématisation qui excite les résistances au dispositif. Il faut renoncer à toute hétéro-prescription du cadre. À suivre le principe d’une autoprescription familiale, le nombre des thérapies familiales analytiques risque bien évidemment de se réduire considérablement, très peu de familles désirant s’engager explicitement dans un processus de travail analytique. L’analyste familial aurait tort cependant de s’inquiéter. Le fait de renoncer à un travail sur l’inconscient familial n’empêchera nullement cet inconscient de travailler à l’intérieur du contrat mis en place. Qui alors mieux que l’analyste pourra lire et décoder les phénomènes transférentiels venant faire obstacle au bon déroulement d’un contrat de thérapie non analytique ?
690 _aélaboration du dispositif
690 _aélaboration et méta
690 _adispositif de méta
690 _aProblématisation et prescription de reproblématisation
786 0 _nDialogue | 159 | 1 | 2003-02-01 | p. 42-52 | 0242-8962
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-dialogue-2003-1-page-42?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c368477
_d368477