000 01553cam a2200241 4500500
005 20250119052124.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aLugrin, Yves
_eauthor
245 0 0 _aL’analyste mal accueilli et la/sa pulsion de mort
260 _c2019.
500 _a26
520 _aEn 1932, une impensable déchirure entame et blesse la relation d’amitié et de travail tisséevingt-cinq ans durant entre le père de la psychanalyse et Ferenczi, que la maladie allait emporter quelques mois plus tard. En 1937, Freud renvoie cette tragédie à la fatalité, au mortifère retour, chez Ferenczi, d’une névrose dont l’analyse personnelle sur le divan l’avait pourtant jadis guéri. En 1932 Ferenczi, lui, référait cette rupture à une faute de son analyste qui, dans la cure, n’aurait pas pris en compte et aurait laissé inanalysé le transfert négatif de son patient. L’auteur soutient ici une autre hypothèse : ce n’est pas « l’analysant Ferenczi » mais bel et bien « Ferenczi l’analyste » qui aurait été mal accueilli, ce drame fatal répétant des traumas archi-originaires.
690 _atransfert négatif
690 _a« tendance organique à la guérison »
690 _atrauma
690 _awise analyste
690 _afin d’analyse
690 _aanalyste mal accueilli
690 _aPulsion de mort
786 0 _nLe Coq-héron | 237 | 2 | 2019-06-12 | p. 68-72 | 0335-7899
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-le-coq-heron-2019-2-page-68?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c395373
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