000 01574cam a2200253 4500500
005 20250120224514.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aKorff-Sausse, Simone
_eauthor
245 0 0 _aTous interdépendants, pour le meilleur et pour le pire
260 _c2021.
500 _a29
520 _aAprès une petite chronique et deux narrations qui essaient de rendre compte de la survenue et des effets de la pandémie, l’auteure tente de développer une pensée de cette situation totalement inédite, qui serait une « pensée de l’incertitude », que l’on peut aborder avec les concepts de Bion. C’est un changement de paradigme, qui fait place à un nouveau modèle où l’humain ne serait plus séparé de son environnement et doit intégrer le non-humain. Entre ces phénomènes très hétéroclites, il y a un lien non pas de causalité mais d’interdépendance. La pandémie fait vivre une confrontation brutale à la mort, sa propre mort, mais plus largement la mort de l’humanité. Le rapport entre réalité externe et réalité interne est complètement chamboulé. De ce fait, les fondements de la psychanalyse demandent à être renouvelés.
690 _aPandémie
690 _aenvironnement
690 _aW
690 _ainterdépendance
690 _acrise climatique
690 _aBion
690 _aR
690 _atraumatisme partagé
786 0 _nLe Coq-héron | 247 | 4 | 2021-11-05 | p. 31-40 | 0335-7899
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-le-coq-heron-2021-4-page-31?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c428665
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