000 | 02448cam a2200289zu 4500 | ||
---|---|---|---|
001 | 88897544 | ||
003 | FRCYB88897544 | ||
005 | 20250107165503.0 | ||
006 | m o d | ||
007 | cr un | ||
008 | 250107s2002 fr | o|||||0|0|||fre d | ||
020 | _a9782251339436 | ||
035 | _aFRCYB88897544 | ||
040 |
_aFR-PaCSA _bfr _c _erda |
||
100 | 1 | _aBoèce | |
245 | 0 | 1 |
_aLa Consolation de philosophie _c['Boèce', 'Guillaumin, Jean-Yves'] |
264 | 1 |
_bLes Belles Lettres _c2002 |
|
300 | _a p. | ||
336 |
_btxt _2rdacontent |
||
337 |
_bc _2rdamdedia |
||
338 |
_bc _2rdacarrier |
||
650 | 0 | _a | |
700 | 0 | _aBoèce | |
700 | 0 | _aGuillaumin, Jean-Yves | |
856 | 4 | 0 |
_2Cyberlibris _uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88897544 _qtext/html _a |
520 | _aLa Consolation est un texte unique dans l'antiquité, où une figure allégorique, Philosophia, s'adresse à son élève (Boèce) et lui apporte la consolation de son enseignement (évidemment une présentation du monde de type néo-platonicien). Ce dialogue est l’Œuvre d’un haut personnage romain chrétien, sénateur et patrice, emprisonné et accusé de haute trahison, alors qu’il attendait la mort, vers 524 après J.-C.. Cette situation « d’urgence » et d’imminence de la mort (pensons à celle de Socrate), démentie par la belle sobriété du texte, est devenu un modèle pour la philosophie, dernier rempart de la beauté et de la méditation, symbole de résistance à l’oppression et de méditation sur la condition humaine. La Consolation de Philosophie devait devenir l’un des ouvrages fondamentaux du Moyen Age, à côté de ceux de St Augustin, de St Benoît et de Bède le vénérable. C’est évidemment aussi un lointain modèle de la Divine Comédie de Dante. Boèce est un parfait représentant de la haute culture italienne de l’époque, déchirée entre sa fidélité à une tradition classique tenace (les satires grecques ou latines, la philosophie grecque, les consolations de Cicéron, Ovide ou Sénèque) et les réalités politiques de son temps, celui de l’Empereur Justinien (occupation par les Goths, la persécution des chrétiens, attrait d’un Orient encore brillant de sa vie culturelle). La présente traduction, inédite, tient compte de très nombreux travaux modernes ; elle est due à un spécialiste de Boèce, Jean-Yves Guillaumin, professeur à l'Université de Franche-Comté. | ||
999 |
_c46318 _d46318 |