000 02073cam a2200277zu 4500
001 88876657
003 FRCYB88876657
005 20250106113829.0
006 m o d
007 cr un
008 250106s2016 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782874021930
035 _aFRCYB88876657
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aBeyer de Ryke, Luc
245 0 1 _aIls avaient leurs raisons
_b14-18 & 40-45. La collaboration en Flandre
_c['Beyer de Ryke, Luc']
264 1 _bEditions Mols
_c2016
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aBeyer de Ryke, Luc
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88876657
_qtext/html
_a
520 _aAncien présentateur du Journal télévisé de la RTBF, à deux reprises parlementaire européen dans le groupe libéral présidé par Simone Veil, Luc Beyer de Ryke, francophone des Flandres, fut élu au conseil provincial et au conseil communal de Gand. Observateur de la vie politique, amoureux de l'Histoire, il cherche à comprendre « les raisons » qui ont porté une partie des Flamands à collaborer avec l'envahisseur – par deux fois –, et auxquelles un vice-Premier ministre et Minsitre de l'Intérieur, Jan Jambon, faisait récemment allusion. Toute la Flandre, ainsi s'intitule l'une des plus belles œuvres d'Émile Verhaeren. Celle dont parle Luc Beyer de Ryke est divisée. Le Mouvement flamand est en quête d'une nation. La langue, à ses yeux, est « tout le peuple ». Pour réaliser son dessein, ses protagonistes collaboreront avec l'Allemagne impériale en 14-18, avec le Reich en 40-45. À la différence de la Wallonie, où la collaboration est réelle également, en Flandre, l'héritage, sans être revendiqué, est assumé par le plus grand nombre. En témoigne l'enquête de terrain menée par l'auteur. Pour la réaliser, il s'est immergé dans un univers trop peu connu – parfois même totalement inconnu – des francophones.
999 _c4786
_d4786