000 01903cam a2200289zu 4500
001 88909360
003 FRCYB88909360
005 20250107173019.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s2021 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782379411144
035 _aFRCYB88909360
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aChevillard, Eric
245 0 1 _aSine die
_c['Chevillard, Eric', 'Ayroles, François']
264 1 _bL'Arbre vengeur
_c2021
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aChevillard, Eric
700 0 _aAyroles, François
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88909360
_qtext/html
_a
520 _aQue se passe-t-il quand un écrivain, par nature voué au confinement quotidien, se voit rejoint par l’ensemble d’une population qu’on invite à rester cloîtrée ? Au pire il écrit ce qui lui arrive pour constater que ses congénères font comme lui et se racontent à grand renfort d’adjectifs égotistes et d’évidences narcissiques. Engagé dans L’Autofictif depuis treize ans, Éric Chevillard a pris l’habitude de concentrer en quelques phrases l’expérience d’une journée ou d’un moment, faisant d’une contrainte une stimulation. Avec Sine die (à l’origine à une commande du journal Le Monde venue se greffer à l’entreprise journalière), il réinvente le reportage immobile, le voyage autour de ma chambre (et mon jardinet), il s’amuse à voir son univers si habituellement balisé éclater en bulles inattendues, laissant venir à lui de dérisoires mais souvent hilarantes épiphanies. François Ayroles a souvent remis au lendemain l’idée de trouver un pendant dessiné à ces textes sans foi ni loi avant de se lancer, sans filet et à l’encre fine.
999 _c49400
_d49400