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520 _a« Je suis une fille de déportée. En relisant ces mots, j’ai un sentiment d’étrangeté et d’irréalité. Ma mère a été déportée. » Comment dire cette enfance singulière, ces parents qui parlaient avec un accent, ces toutes petites familles déracinées, ces traces de la Shoah sur la deuxième génération qui n’a pas connu les camps, mais a grandi dans le traumatisme de cette tragédie ? Danièle Laufer a recueilli les témoignages d’une vingtaine de femmes et d’hommes, comme elle nés de survivants des camps nazis. Tous ont estimé que l’heure était venue pour eux de parler afin de transmettre la mémoire de ce qui les a « à la fois détruits et construits ». Avec une grande sensibilité, elle a tissé ensemble leurs histoires, leurs émotions et les siennes. Venir après se lit comme le roman de vies hantées par des fantômes, où surgit malgré tout la joie d’être là. Danièle Laufer est née en 1951 et a passé son enfance au Maroc. Fille d'une juive allemande déportée dans les camps, elle suit son père à Paris au divorce de ses parents quand elle a 16 ans. Devenue journaliste, elle a passé sa vie à raconter celle des autres, en faisant des incursions dans l'intimisme à l'occasion d'un livre sur sa mère, de documentaires, ou de son dernier doc paru en 2017. Elle a un grand talent pour tisser un lien entre son histoire et celle des témoins qu'elle interroge.
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