000 | 02264cam a2200265zu 4500 | ||
---|---|---|---|
001 | 88916727 | ||
003 | FRCYB88916727 | ||
005 | 20250107174926.0 | ||
006 | m o d | ||
007 | cr un | ||
008 | 250107s2021 fr | o|||||0|0|||fre d | ||
035 | _aFRCYB88916727 | ||
040 |
_aFR-PaCSA _bfr _c _erda |
||
100 | 1 | _aBouchardon, Pierre | |
245 | 0 | 1 |
_aTroppmann _c['Bouchardon, Pierre'] |
264 | 1 |
_bLa Gibecière à Mots _c2021 |
|
300 | _a p. | ||
336 |
_btxt _2rdacontent |
||
337 |
_bc _2rdamdedia |
||
338 |
_bc _2rdacarrier |
||
650 | 0 | _a | |
700 | 0 | _aBouchardon, Pierre | |
856 | 4 | 0 |
_2Cyberlibris _uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88916727 _qtext/html _a |
520 | _aPierre Bouchardon (1870-1950) "C’était en 1869, dans le département du Haut-Rhin. Le 25 août, à onze heures avant midi, un monsieur, d’âge mûr, descendit, à la station de Bollwiller, du train de Strasbourg. Il n’avait que des bagages à main : un carton à chapeaux et deux sacs de nuit recouverts de tapisseries aux couleurs voyantes. Un peu plus tard, en la compagnie d’un jeune homme qui l’avait attendu à sa descente de wagon, il grimpa lestement sur l’impériale de l’omnibus des chemins de fer de l’Est qui faisait alors le service jusqu’à Guebwiller et que conduisait, ce jour-là, le cocher Müllier Ferdinand, mais les deux inconnus s’arrêtèrent, en cours de route, à Soultz, un gros chef-lieu de canton. – À quelle heure passe la plus prochaine voiture pour Guebwiller ? demanda l’aîné des voyageurs, en posant le pied sur le sol. Et comme Müller lui répondait : À neuf heures du soir ! il remercia et prit congé en ces termes : – Alors, le temps ne nous manquera pas, à mon ami et à moi, pour notre petite excursion ! Du consentement de l’employé Sébastien Vogel, il déposa ses trois colis dans le bureau de l’omnibus. Les deux amis, puisque amis il y avait, poussèrent ensuite la porte de Joseph Loevert, qui tenait boulangerie et auberge. Ils s’attablèrent à côté de la fenêtre et commandèrent, en allemand, des cervelas." Documentaire. L'affaire Troppmann a défrayé la chronique en 1869. Une famille entière, soit 8 personnes, est massacrée à Pantin... | ||
999 |
_c51078 _d51078 |