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100 | 1 | _aNicolas, François | |
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_aLes mutations de l’écriture _c['Nicolas, François'] |
264 | 1 |
_bEditions de la Sorbonne _c2017 |
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_2Cyberlibris _uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88924621 _qtext/html _a |
520 | _aEn ce début du troisième millénaire, la musique adresse une question aux autres arts comme aux sciences : comment ajuster les écritures musicale, mathématique, chorégraphique, biologique, etc., aux nouvelles matières sur lesquelles ces pensées embrayent ? S’il est vrai que le système autonome d’écriture musicale, le solfège, inventé il y a près de 1 000 ans, s’avère désormais en partie inadapté aux nouveaux matériaux sonores qu’il s’agit de composer, l’actuelle prolifération empirique des simples notations ne saurait pourvoir aux mutations en jeu : en matière d’écriture musicale, il en va non de techniques neutres mais bien de logique musicale, de ce qu’un discours ou un développement veulent dire musicalement. S’il s’agit donc de penser les mutations en cours en matière de « logique musicale », et leurs exigences, en matière de nouvelles « lettres/notes » musicales, qu’en est-il de problématiques semblables dans les autres arts et dans les sciences ? Qu’en est-il de mutations équivalentes dans les autres arts, singulièrement dans ceux qui entreprennent de se doter d’une écriture qui leur est propre, comme la chorégraphie ? Qu’en est-il surtout dans les sciences, en mathématiques mais aussi en logique, comme dans les sciences ayant à nouer leurs propres lettres à l’impératif galiléen de s’écrire mathématiquement ? Comment ce double dispositif (écriture mathématique importée/modes endogènes d’inscription) tend-il aujourd’hui à se nouer en physique, en chimie, en biologie, en informatique ? Ce volume rassemble différentes contributions présentées et discutées lors d’un colloque tenu à l’École normale supérieure (Paris, Ulm) en octobre 2007. | ||
999 |
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