000 02005cam a2200277zu 4500
001 88929599
003 FRCYB88929599
005 20250107181805.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s2022 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782760645073
035 _aFRCYB88929599
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aGarneau, Stéphanie
245 0 1 _aMigration et classement social
_bEnquête auprès de migrants marocains au Québec
_c['Garneau, Stéphanie']
264 1 _bPresses de l'Université de Montréal PUM
_c2022
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aGarneau, Stéphanie
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88929599
_qtext/html
_a
520 _aLes politiques en matière d’immigration que privilégient les instances publiques québécoises sont conçues pour être un gage de performance économique. Pourtant, nombreuses sont les recherches sociologiques qui pointent le haut taux de chômage des migrants, leur forte représentation parmi les travailleurs précaires ainsi que la déqualification dont ils font l’objet. Dans cet ouvrage, l’autrice offre un angle de vue original, car elle appelle le lecteur à décentrer son regard pour mieux « déséconomiciser » la sociologie des migrations. Elle considère ainsi le phénomène de migration non pas comme une finalité, mais comme une stratégie de classement social qui prend racine dans le pays d’origine et qui se poursuit bien en aval de l’immigration. Au cours de son enquête démarrée au Maroc, elle a rencontré une quarantaine de ces individus qualifiés qui ont quitté leur pays pour le Québec, et où certains sont finalement retournés. À bien des égards, leur parcours permet de décloisonner les spécialités disciplinaires et de comprendre que la migration n’est pas susceptible d’une seule lecture.
999 _c53601
_d53601