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100 1 _aConan Doyle, Arthur
245 0 1 _aLa Dernière Légion et autres contes antiques
_c['Conan Doyle, Arthur', 'Tourville, Bernard', 'Nolane, Richard D.']
264 1 _bVendémiaire éditions
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520 _a« – Aujourd’hui, j’ai reçu l’ordre de faire partir les légions. – Mais, Excellence, si les légions partent tout de suite, nous aurons les sauvages d’Écosse à York, et les Norvégiens sur la Tamise avant un mois ! – Vous agirez à votre guise. Moi et mes hommes, nous partons pour l’Italie. Il en fut comme il l’avait dit : avant que le printemps se fût épanoui en été, les troupes romaines descendaient la via Aurelia vers les cols de Ligurie. Mais avant la fin de l’été suivant, Celticus fut tué, écorché vif par les pirates qui clouèrent sa peau sur la porte d’une église près de Caistor. » Comment meurent les empires ? La fin du XIXe siècle, obsédée par la notion de « décadence », en chercha des prémices dans l’effondrement romain. Le départ des légions de la Bretagne et l’abandon d’une terre conquise un demi-millénaire auparavant excitent alors les imaginations britanniques, notamment celle d’Arthur Conan Doyle, le père de Sherlock Holmes. Quittant bientôt le périmètre du royaume pour nous emmener à Carthage, en Grèce ou à Rome, ces contes antiques nous parlent de ces moments de l’histoire où tout va basculer.
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