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520 _aLa cabale se veut «réception» – c’est le sens littéral du mot – et transmission d’un sens mystique du texte biblique. Elle émerge en Provence au Moyen Âge et se réclame d’une tradition orale millénaire. Concentrée sur le Livre et sa “lettre”, elle prend le judaïsme à bras le corps et pénètre les cercles les plus divers de la pensée méditerranéenne, irradiant vers d’autres traditions qui reprendront et modifieront à leur tour ses formes et ses méthodes. Retracer alors le parcours des «réceptions de la cabale», depuis Pic de la Mirandole ou Johann Reuchlin, initiateurs de la cabale chrétienne, jusqu’à Rabbi Yehuda Halevi Ashlag et les cercles cabalistes de Jérusalem, en passant par les Lumières juives ou les cercles judéo-soufis de Lausanne, revient à redessiner la carte de la diffusion des idées européennes à l’aune d’une tradition paradoxale dont la divulgation, pourtant, n’épuise jamais le secret, comme a pu l’écrire Gershom Scholem, l’un de ses plus éminents spécialistes.
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