000 02274cam a2200277zu 4500
001 88933123
003 FRCYB88933123
005 20250107182824.0
006 m o d
007 cr un
008 250107s2015 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782271055453
035 _aFRCYB88933123
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aVatin, Nicolas
245 0 1 _aRhodes et l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem
_c['Vatin, Nicolas']
264 1 _bCNRS éditions
_c2015
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aVatin, Nicolas
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88933123
_qtext/html
_a
520 _aAprès avoir dû abandonner ses positions en Syrie, l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem s’installa à Rhodes dans la première décennie du xive siècle. Il y demeura jusqu’en 1522, date à laquelle le sultan ottoman Soliman le Magnifique s’empara de la place après un siège de plusieurs mois. Cette présence à Rhodes et dans son archipel - le Dodécanèse - influença les chevaliers, qui devinrent des pirates redoutés. Ils créèrent un véritable petit État chrétien à la frontière des puissances musulmanes. L’ordre, à la fois religieux et militaire, devait en effet s’opposer à ses voisins « infidèles », mais il avait également à gérer un territoire et une population qui entretenait des liens réguliers et pacifiques avec Turcs et Arabes. Cette situation explique l’importance de l’empreinte des chevaliers à Rhodes, où ils contribuèrent à construire une société et une économie originales. Les témoignages de leur œuvre architecturale, bien conservés, sont impressionnants. Les chevaliers de Rhodes avaient su créer une « Rhodes des chevaliers », qui se développa au cours de deux siècles d’une histoire mouvementée. « Patrimoine de la Méditerranée » : une collection qui se propose de retrouver l’esprit des lieux, de les faire revivre à travers leur histoire, de susciter l’imagination du passé. Chaque ouvrage, s’appuyant sur les acquis les plus récents de la recherche, s’organise autour d’un thème privilégié.
999 _c54506
_d54506