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520 _aAux centaines de livres intitulés Socrate, quel est l’intérêt d’en ajouter un ? Simplement parce que celui-ci le regarde autrement, tentant de le saisir en même temps que sa cité. En ajoutant « l’Athénien » à son nom, son titre fait allusion à ce regard nouveau ; d’un mot, il s’agit d’aller de lui à son monde et retour. Mais pourquoi lui ? Parce qu’il a vécu dans la seconde partie du Ve siècle à Athènes, parce que la cité offre sur sa propre histoire la plus riche quantité de sources et parce que, plus qu’un autre, il fut décrit par ses contemporains et leurs successeurs : étudier le Socrate d’Athènes, c’est jouir d’un trésor inégalé d’informations. Mais on ne fait pas d’histoire sans question et, dans ce face à face, c’est Athènes qui l’emporte. Cet ouvrage n’est ni un livre de philosophie ni une biographie, ses fins ne sont pas son procès, sa mort. Toute révérence gardée, je me sers de Socrate comme d’un révélateur, un réactif. Ne jamais le regarder sans son contexte – qui me l’explique –, m’aidant à faire de sa cité un portrait, certes fort partiel, mais plus juste. Ce livre jette sur ce transfert d’intérêt trois éclairages analytiques majeurs : lui et ses relations (la société ); lui vivant, s’y mouvant (son corps – le sens qu’il lui donne et son image) ; lui et sa conception, son usage du surnaturel : quelles croyances, quelle piété chez lui et les Athéniens ?
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