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100 1 _aFouillée, Alfred
245 0 1 _aL’instinct et la vie
_bL’origine de l’instinct et de l’action réflexe
_c['Fouillée, Alfred', 'Lévêque, Charles']
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520 _aQuelque définition que nous puissions donner de l’instinct, il rentre évidemment dans les phénomènes de l’ordre psychologique… On en a donné diverses définitions, telles que : « Aptitude qui opère sans l’aide de l’instruction ou de l’expérience ; » ou bien : « Une faculté mentale totalement indépendante de l’organisation » ; « Une faculté à laquelle on attribue chez l’animal les actes qui, chez l’homme, résultent d’un enchaînement de raisonnements, aussi bien que ceux dont l’homme est incapable, et qu’on ne peut expliquer par aucun effort de l’intelligence. »Le mot instinct est aussi très souvent appliqué à des actes qui résultent évidemment de l’organisation ou de l’habitude. On dit du poulain ou du veau qu’il marche par instinct, aussitôt qu’il est né ; mais cela est dû uniquement à son organisation qui lui rend la marche possible et agréable. De même ou dit que, par instinct, nous étendons les mains pour éviter une chute ; mais c’est là une habitude acquise, que l’enfant ne possède pas. L’étude de l’instinct a un intérêt particulier pour le philosophe, parce que l’instinct est sur la limite commune du mécanisme et de l’intelligence.
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