000 01937cam a2200169 4500500
005 20250121154720.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aMasegeta, Laurent
_eauthor
700 1 0 _a Kashema, B.M.
_eauthor
245 0 0 _aPratiques sociolangagières, interculturalité et identités : français de l'école ou parlers africains à composantes françaises en ANF ?
260 _c2007.
500 _a45
520 _aL’idée de cet article vient d’une communication que nous avions faite à la journée d’études du 18 mai 2006 organisée par une partie de l’UMR 7043 de Sciences Sociales appliquées de Strasbourg. Une équipe associée au CNRS-Cronenbourg et attachée à l’Université Marc Bloch. Il y avait là des intervenants intéressés par un débat sur certaines langues-cultures dont le turc, et sur quelques rencontres du français avec des langues locales comme c’est le cas en Afrique noire francophone ou maghrébine. Suite à une étude de terrain, nous avons fait apparaître que les « parlers africains à composantes françaises » 1 participent de toutes sortes de pratiques langagières issues de métissages linguistiques, à base de français « scolaire » mêlé à des langues et ou cultures africaines (code switching/code mixing, pidgins, et autres processus de créolisation – notamment ceux que G. Manessy appelle « continuums pré- créoles » –) et qui portent chez certains chercheurs la dénomination commune de « français d’Afrique ». On peut dire que sur le continent, les formes les plus singulières seraient le FPI, français de Côte-d’Ivoire, le camfranglais, Cameroun, et l’indoublill, au Congo-Kinshasa, avec quelques débordements sur Brazzaville.
786 0 _nÉla. Études de linguistique appliquée | 145 | 1 | 2007-05-20 | p. 39-49 | 0071-190X
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-ela-2007-1-page-39?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c603090
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