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100 | 1 | 0 |
_aOrenstein, Mitchell _eauthor |
245 | 0 | 0 | _aL’évolution de l’agenda de privatisation des retraites : le rôle joué par les pressions budgétaires et la doctrine de la Banque mondiale |
260 | _c2021. | ||
500 | _a77 | ||
520 | _aDe 1981 à 2004, plus de trente pays ont remplacé, entièrement ou en partie, leurs régimes publics de retraite par répartition par des systèmes fondés sur des comptes d’épargne individuels privés. Mais, en 2005, la privatisation des retraites s’est brutalement arrêtée. Après la crise de 2008, certains des pays qui avaient privatisé leurs systèmes de retraite ont rétrogradé, voire ont supprimé les comptes individuels. La privatisation des retraites est-elle morte ? Et si oui, pourquoi ? Cet article tente de déterminer si des facteurs budgétaires ou idéologiques – en particulier les débats suscités au sein de la Banque mondiale par les échecs de la privatisation des retraites – ont suspendu la privatisation des retraites au niveau mondial. Il avance que les réseaux politiques transnationaux ont fait évoluer leur doctrine en se fondant sur l’expérience et ont mis l’accent sur des pensions minimums et des mesures incitatives plutôt que sur des épargnes retraites obligatoires, afin de sauver la privatisation des retraites. | ||
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786 | 0 | _nInformations sociales | 203-204 | 2 | 2021-10-25 | p. 85-95 | 0046-9459 | |
856 | 4 | 1 | _uhttps://shs.cairn.info/revue-informations-sociales-2021-2-page-85?lang=fr&redirect-ssocas=7080 |
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