000 01430cam a2200157 4500500
005 20250121215422.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aFavro, Karine
_eauthor
245 0 0 _aLa consommation de programmes audiovisuels
260 _c2006.
500 _a57
520 _aLes programmes de télévision peuvent se ranger dans la catégorie des biens culturels si l’on admet qu’ils sont le miroir de notre perception de la société, et font appel à notre tradition culturelle. Cette qualification est intéressante et autorise que l’on porte un jugement sur la qualité desdits programmes. Il appartient en principe au téléspectateur, consommateur de programmes télévisés, de s’exprimer à ce sujet. Cependant, les éditeurs de programmes ne sont pas réceptifs à leurs exigences. Un rapport de force bien plus qu’un rapport de droit s’établit entre les téléspectateurs et les éditeurs de programmes. Les voies de droit demeurent impénétrables et le recours au CSA, bien trop aléatoire. Si l’on admet que le téléspectateur est un consommateur, certes particulier, ne peut-on pas alors envisager un recours au droit de la consommation plus protecteur des intérêt du récepteur que le droit de la communication. ■
786 0 _nLEGICOM | 36 | 2 | 2006-12-01 | p. 153-164 | 1244-9288
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-legicom-2006-2-page-153?lang=fr&redirect-ssocas=7080
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